Impossible d’évoquer les pâtes sans penser à l’Italie. C’est pareil pour le baseball : dès qu’on en parle, on imagine les États-Unis, les stades démesurés, les hot-dogs, les casquettes vissées sur la tête et les foules déchaînées pendant la saison estivale.
Un sport d’équipe riche en stratégie
Le baseball, souvent comparé au cricket pour ses racines communes, se joue à neuf contre neuf. Chaque équipe alterne entre l’attaque et la défense.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire au premier abord, ce n’est pas juste une histoire de lancer et de frapper : c’est un jeu d’anticipation, de psychologie, de placement.
On parle d’un sport où l’intuition est presque aussi importante que les réflexes.
Jamais à sec. Bois, bouge, explore !
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Les règles de base du tennis
Pour jouer au tennis, il faut un terrain, un filet et deux ou quatre joueurs munis de raquettes. Pour gagner un match, il faut gagner des jeux et des sets.
Un duel intense entre lanceur et batteur
La scène est toujours tendue : le lanceur, en pleine concentration, tente de piéger le batteur avec une balle en cuir qui file parfois à plus de 150 km/h.
En face, le batteur – armé de sa fameuse batte en bois (parfois en aluminium chez les amateurs) – essaie de lire la trajectoire, de deviner l’effet, de réagir en une fraction de seconde.
Ce moment de confrontation est le cœur du jeu. Et parfois, ça ne pardonne pas : un swing raté, et c’est une élimination.
Courir les bases, marquer, survivre
Une fois la balle frappée, tout s’emballe. Le batteur devient coureur et doit sprinter de base en base, dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
Pour qu’un point soit validé, il faut réussir à faire le tour complet des quatre bases. Ça semble simple ? Pas du tout. Un seul joueur par base, des défenseurs sur le qui-vive, et si on est pris entre deux bases quand l’adversaire récupère la balle, c’est l’élimination immédiate.
Le baseball en France : une passion discrète mais bien vivante
Si le baseball est né aux États-Unis, il a franchi l’Atlantique pour arriver en France dans les années 1950. À l’époque, on l’appelait encore la thèque, un jeu de cour d’école plutôt populaire dans le nord du pays.
Mais dans les années 60, le style américain devient tendance, et le nom baseball s’impose naturellement, avec tout l’imaginaire qu’il charrie.
Et même s’il reste dans l’ombre du football ou du rugby, le baseball français n’est pas à sous-estimer. Il existe aujourd’hui une Fédération Française de Baseball et Softball, des clubs un peu partout – notamment à Paris, Montpellier ou Rouen – et des compétitions sérieuses.
Le problème ? Un manque cruel de terrains adaptés et une couverture médiatique quasi inexistante.
Ce sport longtemps perçu comme masculin est en réalité très inclusif : hommes, femmes, enfants, ados, il est ouvert à tous entre 7 et 45 ans.
Certains clubs accueillent même des équipes mixtes en loisirs. Et il y a aussi le softball, son petit frère, un peu plus accessible, mais tout aussi tactique.
Équipement : ce qu’il faut pour jouer
Pas besoin de casser sa tirelire pour débuter, mais mieux vaut savoir ce qu’il faut. L’équipement standard comprend une balle, une batte, une casquette (quasi sacrée dans le milieu), un gant pour le batteur et un autre pour le receveur. Pour ceux qui jouent en poste de receveur ou de lanceur, il faudra aussi des protège-tibias, genouillères, et parfois un plastron.
Certains clubs prêtent ou louent le matériel, d’autres demandent aux joueurs de s’équiper eux-mêmes. Il est donc recommandé de se renseigner à l’avance auprès de l’organisme ou du club local. Une anecdote : dans certains tournois amateurs, il n’est pas rare de voir un joueur prêter son gant à son coéquipier en cours de match. L’esprit d’équipe avant tout !
Alors non, le baseball n’est pas réservé aux Américains. En France aussi, il se joue, il se vit, et il rassemble. Et pour ceux qui cherchent un sport d’équipe différent, stratégique et un peu hors des sentiers battus… ça vaut franchement le détour.