Le culturisme et les protéines, comprendre le danger

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Pour la majorité, la force brute fait place au fitness et au bodybuilding. Pour autant, être culturiste n’est pas chose aisée, il nécessite des années et des années de labeurs.

C’est la raison pour laquelle certains d’entre vous n’hésitent pas à utiliser des protéines pour améliorer leur masse musculaire.
Ces produits sont-ils sans danger ?

Des produits stars

À dire vrai, les protéines, les créatines, les brûleurs de graisse et moult produits destinés à forger la musculature sont terriblement efficaces.

En général, ces compléments alimentaires font effet dès la sixième semaine d’utilisation. Ces produits sont une excellente alternative comparée à des mois de labeurs.

D’un point de vue nutritionnel, les protéines compensent les pertes issues d’entraînements intensifs.
Durant son exercice, le pratiquant défait ses muscles, ce qui entraîne une demande élevée en acide aminé. Vous savez sûrement que 50 % du développement musculaire dépend d’une bonne nutrition. La prise de suppléments devient donc nécessaire.
Pour couronner le tout, la majorité des stars du culturisme prennent régulièrement ce type de produit.

Au final, l’utilisation de protéines est devenue légitime.

Un doping dangereux

D’un autre côté, suppléments sont considérés comme des produits de dopages. Certains contiennent des anabolisants comme la testostérone et la créatine.
Ces produits affectent directement la santé physique et mentale de leur utilisateur.
Lequel d’entre vous n’a pas encore été témoin de problèmes d’impuissance ? D’insuffisance rénale ? Ou de troubles psychologiques ? Une majorité des stars du culturisme rencontrent ce type de problème.
Ces dernières arrivent à dissimuler les effets secondaires grâce à une équipe spéciale qui veille sur leur santé. Pour les sportifs, le dopage peut leur coûter leur carrière. Les particuliers restent ceux qui paient le plus lourd tribut du fait de leur ignorance.
En fait, les compléments alimentaires dérèglent le métabolisme naturel du corps.
Dans une large mesure, le pratiquant risque d’en être dépendant.

Le juste milieu

En tous les cas, il est possible de prendre des suppléments tout en évitant les atomes crochus. Le secret repose sur deux points importants : le dosage et les composants.
Le dosage recommandé par les spécialistes est de 2 à 3 gélules par jour ou 2 g par kilo du poids du pratiquant.

Par exemple, un bodybuilder de 90 kg peut consommer jusqu’à 180 g de protéines par jour. Les suppléments sous forme liquide, quant à eux, suivent une prescription à part.
Dans l’ensemble, le corps ne doit pas assimiler les acides aminés en surdosage. En ce qui concerne les composants, les règlementations françaises sont strictes. Il est interdit de vendre et de consommer des substances contenant de la créatine, de la testostérone ou d’autres produits dérivés.
Soyez vigilant surtout si vous achetez des protéines hors de l’hexagone. Les règlementations diffèrent d’un pays à un autre.

Au final, la prise de suppléments et d’autres protéines n’est pas prohibée. Elle présente des risques que vous pouvez facilement éviter en respectant le dosage prescrit et les compositions élémentaires.
Cependant, vous devez garder à l’esprit qu’il est important d’accompagner les suppléments d’un entraînement sérieux et d’une alimentation équilibrée.
Vous devez également différencier les produits en fonction de leur usage spécifique. Les plus prisés sont les brûleurs de graisse, la glutamine, la protéine, le pre-workout, les BCAA et les tribulus.
Vous saurez un peu plus sur ces suppléments lors de votre prochaine lecture.

Pour le moment, sachez que certains aident à gagner en force et d’autres à améliorer votre masse musculaire.